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Prix
Jean Anglade
-
Le péché d'écarlate
Jean Anglade
- LES EDITIONS RETROUVEES
- Lire En Grand
- 20 Septembre 2023
- 9782365593199
En Auvergne au début du XXe siècle, tout destinait Georges Juradieu à une existence heureuse : beauté, intelligence, richesse. Lorsque, enfant, il assiste à l'assassinat de son père et à la méchanceté humaine qui s'en suivra, il s'appliquera à se construire une carapace cynique, violente et méchante pour le reste de sa vie. Jusqu'à ce qu'un événement le laisse aveugle et défiguré. Du fond de la nuit, lentement, il prend conscience que la gentillesse existe aussi. Et peut-être l'amour de Lucie l'y aidera...
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Le village de Saint-Coutain, établi sur la frontière départementale, se trouve partagé entre le Cantal et l'Aveyron. Il comporte donc deux mairies, deux écoles, deux bureaux de poste, deux églises, deux saints patrons : Saint-Christophe et Saint-Nicol. Les esprits y sont aussi partagés que les territoires. On vote à gauche d'un côté, à droite de l'autre. Des vaches rouges broutent l'herbe auvergnate, des blondes l'herbe rouergate. Le seul lien entre les deux villages, c'est celui qui unit le petit Léonce, enfant bâtard de Saint-Christophe, à Flora, une demoiselle de Saint-Nicol.
Et puis, un jour, afin de préciser les limites de leurs communes, les deux maires décident de faire peindre sur le sol une ligne frontière. Ligne blanche qui devient une curiosité touristique certes, mais qui sépare encore davantage nos petits Roméo et Juliette de dix ans...
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Auvergne, années 1970. Atteint d'un cancer sans doute en raison du phosphate utilisé pour engraisser les terres de la ferme de son père, Germain Ferrier guérit mais est condamné à la chasteté. Lui qui voulait fonder une famille décide, à quarante ans sonnés, d'embrasser la carrière sacerdotale. Après le grand séminaire, il hérite d'une cure, dans un petit village au pied des monts du Forez, avec ses à-côtés : un chat, Filou, une vache, Roussette, un jardin potager et une servante très pieuse qui fait aussi office de sacristine...
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La douce et studieuse Rose, jeune fille du début du xxe siècle, rêve d'être institutrice, épouse un cantonnier et devient garde-barrière sur la ligne de chemin de fer qui va de Vichy au Puy. Cette vie, pourtant solitaire et obscure, va se révéler d'une extraordinaire richesse. Entre deux rares trains, sur des cahiers d'écolier, elle tient la vivante chronique d'un hameau perdu et d'un monde rural aujourd'hui disparu.
Jean Anglade a arraché à l'oubli l'humble destin d'une Rose, double de la sienne, faisant de la vie de cette fille d'ouvrier agricole devenue femme de lettres un vrai roman.
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On peut naître la tête dans les nuages, et conserver les pieds sur terre. Irène Monnier vient au monde en 1885, au sommet du Puy-de-Dôme. Entre les flancs enneigés du vieux volcan et l'Observatoire météorologique dont ses parents ont la garde, l'espiègle jeune fille grandit sous le signe de Mercure, ce dieu malin aux pieds ailés. Rude et douce enfance, bercée par les étoiles, et qui décidera de son destin... Car si la vie, le temps, l'amour l'amèneront à quitter sa thébaïde, Irène n'oubliera jamais l'appel des cimes.
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Sept ans après la fin de la Grande Guerre, Maurice retrouve son village auvergnat. Ici, tout le monde le croyait mort. Mais Maurice, faucheur hors pair, a obéi au devoir citoyen et est allé affronter la Faucheuse dans la boue les tranchées. Fait prisonnier, c'est au coeur de la Forêt-Noire que son destin va basculer : sur place, il travaille dans les champs pour le compte d'une jeune Allemande, bientôt veuve de guerre. Et il ne va pas rester très longtemps insensible aux beaux yeux d'Erika.
De retour au pays, une « boche » au bras, Maurice va devoir raconter son histoire...
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Années soixante. Guillaume est barbier-coiffeur au Chambon-sur-Lignon, village reculé de la Haute-Loire resté une enclave huguenote au coeur de l'Auvergne romaine catholique. Sa clientèle protestante ne s'offusque pas qu'il soit lui-même papiste : la commune est un modèle de tolérance et de bons voisinages. D'ailleurs, le temple sert aussi d'église à son grand-oncle Marius, curé respecté de tous. Village de Justes et de résistants, refuge de tout temps pour les persécutés, Le Chambon-sur-Lignon vit dans la tranquillité. Jusqu'à ce qu'un terrible drame fasse de Guillaume et de sa femme institutrice des fugitifs.
Jean Anglade a écrit Le Grand Dérangement en 2015, l'année de ses cent ans. Dans un style toujours aussi vif et poétique, il nous offre un extraordinaire hymne à la liberté.
Lisez vite le tout dernier livre ce de jeune homme de 100 ans qui nous conte sa passionnante région ! Dominique Préhu, France Dimanche.
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À l'issue de la Première Guerre mondiale, Donato rentre au pays avec, en guise de médailles militaires, une patte folle et un poumon percé. Mariella, sa fiancée, l'a attendu pendant sept ans. Ils se marient enfin, s'apprêtant à partager une vie qui ne leur offrira que deux abondances : la misère et les enfants. Dans leur pays, ce sont les Michelis qui règnent sur les hommes, en possédant tout : terres, maisons, bétail. Don Flore, le prêtre, règne quant à lui sur les âmes en menaçant des flammes de l'enfer les brebis égarées.
Lors d'une procession en l'honneur de la Madone, un pont de bois s'écroule sous les pas de fillettes endimanchées. Vingt-cinq enfants meurent, emportées par le fleuve en crue.
Donato et Mariella perdent deux de leurs filles. Donato ne veut plus croire en la miséricorde de la Vierge : il l'insulte et en brise la statue. Sa révolte contre l'Eglise et la société prendra une forme plus pernicieuse encore, qui ébranlera leurs fondements...
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Elle a dit au revoir à ses poules, rangé ses affaires dans son baluchon, fermé les volets de sa maison. Prête pour l'ultime aventure, à vingt kilomètres de là...
" Le Doux Repos ", un nom qui promet tant : activités ludiques, repas à heures fixes, nouveaux compagnons et service impeccable ! Pour Mathilde, qui a toujours vécu au fil des saisons - " nom de gueux ! " -, cohabiter avec les angoisses et les lubies de Lulu, Mauricette et autres édentés relève d'une expérience stupéfiante et drolatique ! Car pour Mathilde, digne et bonhomme, si l'âge est bien là, la vie frémit, toujours...
" Un livre éternel. " GÉRARD COLLARD " C'est un roman drôle, caustique, cruel, mais surtout plein de vie. Un roman très réussi sur la vieillesse. " La Montagne -
Alors que sa fille Gilberte devient institutrice, Auguste Pitelet, fier émouleur et héritier de sa lignée, est devenu un patron reconnu. Mais déjà grondent les canons de l'ennemi...
De 1939 à 1986, les Pitelet assisteront à l'occupation de leur petite ville, à sa peu ordinaire libération, à l'évolution des techniques et des esprits après la guerre, enfin à la mutation soudaine suscitée par Mai 68... Thiers est la capitale de tout ce qui coupe, capitale du « rapoutet » aux pommes de terre, capitale enfin de la débrouillardise. -
Depuis son enfance, Jeanne croit au bon Dieu. Trouvée dans un bénitier, élevée par un curé, mariée par convenance à un coiffeur, elle n'a jamais eu de raison d'en douter. Dans le salon de son époux, qui voit se presser les officiers du camp voisin, on attend la guerre. Laquelle finit par arriver. Ainsi qu'un régiment de soldats russes, envoyés par le tsar mais mutinés depuis, et cantonnés là, au fin fond de la Creuse. Des cosaques ! Des bolcheviques ! Et parmi eux, un beau soldat qui va faire souffler, dans le village et dans le coeur de Jeanne, comme un vent de révolution...
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Leurs pères sont morts pour la France, leurs mères ont été victimes de la grippe espagnole qui fit des ravages en 1918. Vincent et Mauricet Belloc sont orphelins, cousins et inséparables. Après la guerre, ils sont hébergés en Auvergne, à Arlanc, l'un chez grand-mère Félistine, chapeletière, l'autre chez grand-mère Yolande, dentellière. Et c'est tout naturellement que, quelques années plus tard, ils entrent ensemble en apprentissage chez M. Fernand Ameil, charcutier à Riom, où on les considère comme les fils de la maison. Jusqu'au jour où la patronne, s'alarmant de leur manque de curiosité pour le sexe opposé, se met en tête de trouver la femme idéale, capable de briser leur innocent et néanmoins troublant duo...
« Drôle, tendre et grave à la fois, chacun des romans de Jean Anglade est une cure de jouvence, une extraordinaire leçon de vie. » La Montagne
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Il y a plusieurs façons de se dresser contre la guerre : la maudire, dépeindre les horreurs qu'elle commet, étaler son absurdité. Dans ce roman à sketches, Jean Anglade se jette dans une entreprise difficile : faire rire d'elle. Car le ridicule peut démolir autant et plus que l'invective. En fait, c'est l'histoire de sept hommes dont les noms figurent sur un modeste monument aux morts de 1914-1918. Chacun était de son vivant affligé d'un problème insoluble : la guerre a résolu ces sept problèmes. Le roman a inspiré à Patricia Valleix un très beau film qui a obtenu à Aurillac le premier prix du cinéma rural.
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On ne sait jamais ce que la vie nous réserve. Aline, jeune Auvergnate trop amoureuse des romans d'amour, s'est engagée un peu vite en décidant d'épouser un beau Grec. Le couple s'installe en Tunisie, mais au pays des Milles et Une Nuits, le conte de fées tourne court et Aline doit se résigner à une vie sans passion. Lorsque le destin la ramène en France avec ses trois enfants, une nouvelle chance lui est offerte. Pour la saisir, elle va devoir tout sacrifier.
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À la fin des années 1940, Albert Moel s'installe dans une ville industrielle où il ne tarde pas à se faire embaucher comme manoeuvre dans une grande usine. Le midi, à la cantine, il écoute beaucoup mais parle peu, ce qui alerte les syndicalistes qui voient en lui un espion du patron. Albert Moel doit alors dévoiler sa position plus vite qu'il ne l'avait prévu...
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Le tunnel du Lioran, entre Murat et Aurillac, fut longtemps le plus long de France. Géraud Codier aime bien raconter comment son grand-père Pélage, tanneur, sabotier et bandit de grand chemin, pendu pour ses forfaits, fut peut-être, malgré lui, à l'origine de son percement.
C'était dans les années 1830. On mettait parfois une journée à franchir le puy de Masseboeuf, impraticable l'hiver ; on y risquait sa bourse ou sa vie. Toute l'activité du pays en était paralysée. Quand on décida de le transpercer, Géraud fut l'un des premiers à creuser la galerie, au pic et à la pioche.
" Une extraordinaire épopée racontée avec l'humour et la sagesse d'un Auvergnat octogénaire. " Livres Hebdo -
C'est une terre de sable qui s'enfonce dans la mer comme un doigt de gant. Y vivent notamment deux communautés que tout oppose : les pêcheurs et les garanciers. Ceux-ci tiennent la terre, ont prospéré. Dans leurs vastes domaines entourés de murailles, ils cultivent la plante dont les racines donnent cette teinte rouge si caractéristique qui colore les pantalons des soldats. Mais les temps changent... Polbuss, sous-secrétaire d'État à l'Intérieur, est chargé d'annoncer aux notables de la province que l'usage de la garance est désormais révolu. Or, dans la Presqu'île, de cette activité dépendent nombre de petits métiers, boulangers, cordonniers, charbonniers...
La décision va semer les germes d'une révolution populaire. Rouge, bien sûr...
Toute la fantaisie, la profondeur, l'humanité et la plume visionnaire de Jean Anglade se déclinent dans ce roman-fable, puissante allégorie des drames fratricides d'hier et de demain. -
La Noël aux prunes
Jean Anglade
- Les Presses de la Cité
- Terres De France
- 7 Novembre 2019
- 9782258161917
En 1975, une nouvelle enthousiasme les réfugiés, dont Manuel fait partie : Franco est sur le point de mourir. Manuel retourne donc en Espagne après trente-huit ans d'errance. Son village est désert, en ruines. Il redevient professeur dans une école imprégnée de franquisme, mais ce pays n'est plus le sien. Ce n'est plus le pays « de sa jeunesse, de ses espérances, de ses combats ; ses études, ses travaux, ses amours, il les a rêvés ». Il décide donc de revenir sur les flancs d'un volcan mort en Auvergne sur lequel il a bâti autrefois une maison de ses propres mains et ne se sent plus concerné que par sa vieillesse et sa solitude...
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En 1924, à Treignac (Haut-Limousin), la famille Peyrissaguet obtient le prix Cognacq-Jay qui honore les familles nombreuses. L'année suivante, Gaston Doumergue, président de la République, accepte d'être le parrain de leur douzième enfant, une petite fille judicieusement prénommée Gastounette...
Ainsi commence l'étrange histoire de " Tounette " : dès l'âge de quatre ans, elle mène un troupeau de quarante bêtes. Plus tard, arrachée aux bancs de l'école dès le mois de mai, elle enseigne aux moutons conjugaisons et tables d'additions... -
Régis Féraz est le dernier de nos poilus. Ancien éclusier au Clos du May sur le canal latéral à la Loire, il n'est bourbonnais, certains disent « bourbonnichon », que d'adoption. Qu'il le veuille ou non , il est devenu un héros. On voudrait d'ailleurs recueillir de sa bouche un ultime témoignage. Mais ce centenaire passe pour un peu « bredin », pour un peu fou. Depuis des années il ne veut plus entendre parler de la Grande Guerre. Seule Léone sait quel souvenir indicible son grand-père veut garder pour lui.... Sans jamais se départir de cette ironie tendre qui fait notre délice, Jean Anglade nous entraîne sur les pas d'un enfant de la patrie, emporté dans les cruautés d'un siècle meurtri par la folie des hommes.Jean Anglade, conteur de toutes formes d'humanité et d'inhumanité, de toutes formes d'héroïsme et de folie, a un sens de l'épisode, du rythme, de la psychologie des relations proprement éblouissant. Bruno Frappat, La Croix.
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Une forteresse glaciale du Grand Berlin. Surveillés par deux cents geôliers, sept dignitaires nazis purgent leur peine dans la prison de Spandau. Qui étaient ces bourreaux aujourd’hui condamnés à l’isolement absolu ? Quel homme était Rudolf Hess, le dernier d’entre eux, successeur désigné du Führer ? Au cours de son interminable détention, livrera-t-il le secret de ses haines, de ses crimes ? « J’ai osé » demandera-t-il d’inscrire sur sa tombe. Qui déchiffrera cette énigme ?
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Comment on peut vivre encore quand on est la seule habitante d'un village déserté (une pomme oubliée, le tilleul du soir).
Comment, revenus mutilés et décorés du chemin des dames, de jeunes élèves instituteurs peuvent être traités en enfants dans leur ecole normale, jusqu'à ce qu'ils aient l'intelligence de jeter leur directeur dans le bassin aux poissons rouges (le tour du doigt). comment les habitants de thiers vivaient du couteau, par le couteau, pour le couteau (les ventres jaunes, la bonne rosée, les permissions de mai).
Comment il exista dans nos campagnes, dès le ixe siècle, des communautés agricoles qui annonçaient les kolkhozes et les kibboutzim (les bons dieux).
Voilà ce que raconte jean anglade. il est sans conteste à ce jour, l'écrivain vivant le plus typique et le plus fécond d'auvergne. roman après roman, il nous conduit à la découverte de la patrie natale d'alexandre vialatte et d'henri pourrat.
En fait, le régionalisme d'anglade, comme celui de maupassant, de giono, de pagnol, est universel : " ma vraie région, se plaît-il à dire, ce n'est pas l'auvergne, c'est l'homme.
".
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Après "les ventres jaunes".
Poursuivant son émouvante et forte chronique auvergnate, jean anglade reprend ici l'histoire de sa ville natale, thiers, capitale de tout ce qui taille, coupe et tranche, et de sa singulière population si jalouse et si tenace, si indépendante et si peu conformiste. au mariage d'auguste pitelet et de toinette, le curé a lancé : "un bon enrichissement qui ne nuit à personne peut être considéré comme un don du ciel au même titre que la bonne rosée qu'il répand sur nos semis." une leçon qui ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd.
Devenus patrons à leur tour, les pitelet garderont leurs galoches et leurs tabliers de cuir, leur franc-parler et leur harmonie. ces nouveaux riches resteront toujours des anciens pauvres.