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Marc Perelman
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2024 : Les Jeux olympiques n'ont pas eu lieu
Marc Perelman
- Editions Du Detour
- Essais
- 14 Janvier 2021
- 9791097079505
En 2024 auront lieu les Jeux olympiques et paralympiques de Paris, moment de joie, de paix, dans le respect des hommes et de la planète. Marc Perelman déconstruit cette promesse miraculeuse et décrypte l'idéologie autoritaire et cupide qui la sous-tend.
La France se prépare à accueillir les Jeux olympiques en 2024. Ce sera un été de fête.
Et pour qu'il soit réussi, des milliers de travaux ont été engagés, des fonds énormes ont été dédiés. Paris deviendra un parc olympique écoresponsable et les Français seront « tous citoyens du sport ». Même Notre-Dame sera rénovée pour l'occasion.
Marc Perelman propose à ceux qui sont mal à l'aise avec cette débauche de moyens et d'enthousiasme de ne pas s'arrêter aux effets pervers d'un système devenu gigantesque. Il faut interroger les valeurs qui sont ici à l'oeuvre au-delà des affichages, des valeurs qui sont très dangereuses.
L'auteur se base sur une lecture approfondie de la charte olympique, des contrats qui lient le CIO à ses partenaires et de nombreux documents officiels, les mettant à l'épreuve des faits de l'organisation de Paris-2024. Non, l'olympisme n'est pas apolitique, n'est pas écologique, ne fait pas oeuvre sociale, n'agit pas pour la santé commune, ne respecte pas les territoires qu'il occupe. Les Jeux n'ont comme horizon que la croissance : plus de licenciés, plus de spectateurs, plus d'argent. Et nous ne sommes pas obligés de leur dérouler le tapis rouge.
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Football, la défaite des intellectuels : Qatar, la coupe immonde
Marc Perelman
- Bord De L'Eau
- Documents Bord De L'eau
- 7 Octobre 2022
- 9782356878892
Fut un temps où les intellectuels (artistes, avocats, comédiens, écrivains, journalistes, médecins, philosophes, scientifiques, universitaires, voire politiques) avaient quelque retenue vis-à-vis du football. Si certains le regardaient en catimini à la télévision, pour beaucoup le football ne pouvait constituer une présence au monde originale et encore moins relever d'une forme artistique. Au mieux, il était une distraction du dimanche. Cette époque est révolue depuis la victoire de l'équipe de France sur celle du Brésil en finale de la Coupe du monde de football en 1998. Les intellectuels sont désormais engagés dans la défense inconditionnelle d'un football paré de toutes les vertus.Dans le prolongement de ses travaux sur la critique du sport, l'auteur veut montrer comment la puissance du football a renversé toutes les barrières intellectuelles, esthétiques, politiques, sociales, idéologiques... jadis élevées sur la base de la raison, de la faculté de jugement, de l'émancipation sociale et de la critique des idéologies. Autrement dit, comment le football a réussi à contaminer en profondeur - l'air de rien et en quelques années - les professions intellectuelles a prioriles moins enclines à se bercer d'illusion sur ce spectacle de mercenaires et à subir la magie des buts ou encore à intégrer la fantasmagorie de quelques gestes dits techniques de footballeurs aux dribbles inouïs, aux shoots si puissants.Que diront les intellectuels au moment de la Coupe du monde du Qatar ?
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Smart stadium ; le stade numérique du spectacle sportif
Marc Perelman
- L'Echappee
- Pour En Finir Avec
- 20 Avril 2016
- 9782373090055
Proliférant sur l'ensemble de la planète, le stade est devenu le plus puissant symbole d'une société mondialisée en proie à la démence financière et à l'aberration technologique. Il se présente comme l'architecture de l'ordre sportif immuable, croisant technologie esthétisée et esthétique high-tech.
Le stade a rapidement déployé et intégré les technologies numériques, faisant du sport un spectacle total et du stade un spectacle à part entière. Le spectateur rejoint ainsi le téléspectateur en tant qu'ils sont astreints aux mêmes écrans portable ou fixe, petit ou géant, contraints à une visualisation centripète ininterrompue, et soumis à une logique d'attention sinon de dépendance totale à la compétition sportive. Le regard y est arraché à toute possibilité d'une prise de conscience sur le monde.
Il est hypnotisé, et étourdi par le vertige d'une recherche frénétique d'informations balancées à flux continu.
Par le biais de nombreux exemples, ce livre analyse le processus de numérisation intégrale du stade devenu une petite ville envahie d'objets connectés et les enjeux sécuritaires qui lui sont consubstantiels. Il montre comment l'immense positivité d'un sport archaïque est sans cesse augmentée par la numérisation du lieu même de sa pratique, achevant de décomposer les sujets dans une réification toujours plus poussée.
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Le football, une peste émotionnelle : la barbarie des stades
Jean-Marie Brohm
- Folio
- Folio Actuel
- 11 Mai 2006
- 9782070319510
Aux thuriféraires de la «religion athlétique» et du «culte de la performance», voici opposée la têtue réalité des faits. Censurées, occultées, refoulées, ces réalités, loin d'être de simples «déviations», «dénaturations» ou «dérives» comme le répètent à l'envi les idéologues sportifs, constituent au contraire la substance même du football-spectacle. Derrière le matraquage footballistique de l'espace public se profilent toujours la guerre en crampons, les haines identitaires et les nationalismes xénophobes. Et derrière les gains, transferts et avantages mirobolants des stars des pelouses, promues «exemples pour la jeunesse», se cachent les salaires de misère, le chômage, l'exclusion, la précarité et l'aliénation culturelle de larges fractions de la population invitées à applaudir les nouveaux mercenaires des stades comme naguère les foules romaines étaient conviées par les tyrans aux combats de gladiateurs. Le football-spectacle n'est donc pas simplement un «jeu collectif», mais une politique d'encadrement pulsionnel des foules, un moyen de contrôle social qui permet la résorption de l'individu dans la masse anonyme, c'est-à-dire le conformisme des automates.
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L'ère des stades ; genèse et structure d'un espace historique
Marc Perelman
- Infolio
- Archigraphy
- 15 Avril 2010
- 9782884745321
Le stade, morceau d'antiquité parvenu jusqu'à nous, est aussi la création d'une modernité architecturale douée de capacités technologiques sans cesse renouvelées, grâce entre autres à la télévision et aux puissants moyens visuels (écrans) et sonores (micros) mis en ouvre dans son enceinte même.
Ce livre propose une analyse de la production, à travers l'histoire, d'un espace unique, fortement architecturé, inscrit dans la trame urbaine, et qui est souvent devenu un monument à part entière. Avec le développement des grandes compétitions sportives, le stade exerce un tropisme qu'aucun autre édifice n'avait été jusqu'à présent capable d'atteindre. Lors des grandes manifestations sportives, il devient le centre réel de la ville.
Inséré dans la ville mais coupé d'elle par la barrière que constitue sa forme, refermé sur le seul monde du sport, le stade est la forme architecturale type de la masse "en anneau", qui se fait face par son dispositif même. Dans le stade, le spectacle du corps est poussé au point où architecture et corps ne font plus qu'un.
Première étude systématique consacrée au stade, qui y est abordé dans une perspective historique, mais aussi en tant que " fait social " et dans son environnement politique.
Marc Perelman, architecte dplg de formation, enseigne l'esthétique à l'Université Paris Ouest-Nanterre La Défense. Il a créé et dirigé Les Éditions de la Passion de 1986 à 2004. Il dirige la collection " Art et architecture " aux éditions Verdier. Il est l'auteur de livres et d'articles sur la théorie et l'histoire de l'architecture et de la ville, sur le sport et ses manifestations mondialisées, sur le corps dans l'espace (architecture) et en mouvement (sport). -
Le stade barbare; la fureur du spectacle sportif
Marc Perelman
- Mille Et Une Nuits
- Les Petits Libres
- 28 Janvier 1998
- 9782842051976
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A travers l'analyse des projets, réalisations et livres de l'architecte, urbaniste et homme de lettres que fut Le Corbusier, cet essai propose une critique approfondie de la froide vision du monde qu'a générée et tenté de déployer, par une suite ininterrompue d'écrits et de nombreuses réalisations singulières, l'un des hérauts de la modernité.
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Le Corbusier, l'art de se loger et de le dire
Marc Perelman
- PU de Paris Nanterre
- 15 Octobre 2020
- 9782840163657
Que signifie « habiter » chez Le Corbusier? Comment l'architecte a-t-il répondu à cette question? Et de quelle façon a-t-il souhaité le faire savoir à ses contemporains? Par son architecture et son urbanisme, soit. Mais tout autant par des livres, nombreux, souvent illustrés de photographies et de dessins. Plus concrètement: quelles formes architecturales et urbaines originales a inventé cet architecte? Quel modèle esthétique spécifique (standard, série, plan libre...) Le Corbusier a-t-il suscité et mis en oeuvre face à ce besoin vital des individus? Comment se constitue l'espace intérieur, l'espace de vie des logements modernes dans la réflexion théorique de Le Corbusier sur ses propres projets? Y a-t-il une manière de vivre particulière liée aux espaces créés par l'architecture? Un vécu remarquable? Y a-t-il une unité de la typologie spatiale des espaces d'habitation chez Le Corbusier? Y a-t-il un art de se loger et de le dire? Les quinze contributions présentées dans cet ouvrage proviennent d'auteurs rattachés à différentes régions du monde et à diverses disciplines (architecture, esthétique, histoire, littérature, sociologie). Elles s'intéressent à la possibilité de se loger dans la production de masse à partir, entre autres, de l'industrialisation des pays occidentaux. Ces contributions ouvrent enfin à de nouvelles perspectives d'analyse de l'espace intérieur mis en oeuvre par Le Corbusier. Le « savoir habiter », la volonté d'« incruster » le « savoir loger », dans la conscience des individus, pour reprendre les termes mêmes de Le Corbusier, sont ainsi des principes d'organisation de la vie dans les logements déterminant les réalisations de certains architectes modernes.
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L'objectif de cet ouvrage est de s'intéresser aux liens et affinités multiples et complexes qui se sont développés depuis la Renaissance jusqu'à aujourd'hui entre la perspective et l'architecture et plus généralement la ville.
Les articles publiés dans ce livre s'organisent autour de plusieurs thèmes.
La perspective est d'abord appréhendée et appréciée en tant qu'outil, instrument, ou encore comme une technique de maîtrise ou de manipulation de l'espace à l'usage des peintres, des architectes ou des urbanistes.
Elle est ensuite analysée en tant que structures ou dispositifs techniques plus sophistiqués : appareil de photographie, cinéma, télévision, et à travers la multiplication infinie des écrans. Elle est une machine à être vue et à voir.
Elle est enfin identifiée à une vision du monde qui oeuvre matériellement dans l'architecture et dans la ville et dont on saura que la peinture a été le moment anticipateur.
Deux textes inédits de Giulio Carlo Argan (interview) et d'Erwin Panofsky contribuent à l'approfondissement théorique de cet ouvrage. -
Le sport, en quelques décennies, s'est élevé au niveau d'une puissance mondiale incontournable, la nouvelle et vraie religion du XXIe siècle.
Sa liturgie singulière mobilise dans le même temps d'immenses masses coagulées dans les stades ou agglutinées devant les écrans de toute taille que les supporters visualisent de façon compulsionnelle. Ces masses grégaires, obéissantes, souvent violentes, mues par des pulsions chauvines, nationalistes, parfois xénophobes et racistes, sont assoiffées de compétitions sportives, euphorisées par les victoires mais oublieuses des luttes sociales et politiques, surtout la jeunesse.
L'organisation même d'un sport planétaire, étayée par un ordre pyramidal opaque, s'est érigée et solidifiée comme un mode de production et de reproduction socio- économique, envahie par une esthétique crépusculaire, exhibant des champions dopés et accumulant des quantités de marchandises très ordinaires. Le sport, désormais un spectacle total, s'affirme comme le seul média structurant dans toute sa profondeur le quotidien de milliards d'individus.
Rouleau compresseur de la modernité décadente, le sport-spectacle lamine tout sur son passage et devient un projet d'une société sans projet.
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Le choix de la chine pour l'organisation des jeux olympiques 2008 a provoqué un tumulte international.
A juste titre ! l'attribution de ces jeux n'a pas le moins du monde incité le régime chinois à modifier son mépris pour les droits de l'homme. même si le comité international olympique et les sponsors voudraient faire croire le contraire afin de ne pas gâcher ce qui est devenu une gigantesque foire commerciale à destination du " marché chinois "... plus que jamais, c'est l'argent qui domine l'esprit et les valeurs olympiques.
La dictature de pékin a démontré sa volonté de suivre l'exemple des états totalitaires à qui le cio a naguère confié l'organisation des jeux : les jeux de la croix gammée à berlin et les jeux du goulag à moscou... une situation insupportable qui devrait inciter tout pays démocratique à boycotter ces jeux de la honte !
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Voir et incarner ; une phénoménologie de l’espace corps - architecture - ville
Marc Perelman
- Encre Marine
- 12 Février 2015
- 9782350880860
Le but, sinon la visée de cet ouvrage, ressortit à une tentative de mise au jour d'une intelligibilité des rapports sociaux, politiques et idéologiques, historiquement institués entre le corps, l'architecture et la ville. Ce recueil de textes analyse les moments forts, les noyaux durs, les structures pérennes dont ils dépendent plus ou moins directement. Rassembler dans un même livre des textes éloignés les uns des autres par le temps, et au contenu, à la forme et au style parfois très différents a, ici, un sens précis.
Il s'agit par la réunion physique et articulée de plusieurs textes, que seul le livre autorise, de tenter de montrer une démarche elle-même régulière sinon homogène, personnelle sinon cohérente. Or, précisément, seul le livre a cette faculté d'unifier le dispersé, de synthétiser sans confondre, d'exposer sans exhiber.
Quelle est la thèse centrale de cet ouvrage ? Au coeur des rapports réels, symboliques ou encore imaginaires établis entre le corps humain et l'espace, qu'il soit construit matériellement (l'architecture) ou peint (les fresques, les tableaux), il est de fait question d'un puissant mouvement dont le corps est à l'origine et auquel la pensée sous le registre spéculatif de l'intuition, de l'anticipation, voire sur le modèle de la construction elle-même, lui est attaché. Ce qui d'emblée explique le vif intérêt, ou mieux cette quasi appétence, pour les expériences perspectives picturales et architecturales de Brunelleschi et pour la peinture architecturée de Giotto qui associent de maintes façons, la peinture et l'architecture : la peinture dans l'architecture, la peinture en tant qu'architecture et l'architecture en tant que peinture, l'architecture peinte. À travers les oeuvres et les projets mis au jour dans cet ouvrage ou encore certains phénomènes sociaux mis en saillie, émerge ainsi une véritable pensée de l'espace qui ne leur est pas extérieure mais qui, au contraire, les a générés, les a fécondés et les a structurés dans toute leur profondeur.
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Le football une peste emotionnelle ; planete des singes fete des animaux
Jean-Marie Brohm
- Passion
- 1 Juin 1998
- 9782906229341
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Giulio Carlo Argan 1909-1992 ; historien de l'art et maire de Rome
Irene Buonazia
- Verdier
- Art Et Architecture
- 15 Décembre 1999
- 9782906229402
Plutôt qu'une sage biographie, un livre trop linéaire pour un personnage hors du commun, l'ouvrage que nous avons souhaité présenter au public français situe la vie et l'oeuvre immense de Giulio Carlo Argan à travers son énergie intellectuelle, l'originalité de ses thèses sur l'art, l'importance de la politique et de l'action militante jamais absentes, enfin le raffinement littéraire de ses écrits.
Giulio Carlo Argan a connu tous les historiens de l'art : de Venturi père à Erwin Panofsky, en passant par Rudolf Wittkower, Roberto Longhi, la plupart des peintres dont Picasso, tous les.
Architectes (Walter Gropius, Le Corbusier, Frank Lloyd Wright), et de nombreux écrivains et philosophes (Jean-Paul Sartre, Georg Lukacs). Il nous parle de tous ces personnages rencontrés au cours de sa vie dans l'une des dernières interviews accordées, ici intégralement reproduite.
La traduction d'une thèse italienne permet de mieux apprécier l'origine des intérêts philosophiques et des grandes lignes directrices de la pensée de Giulio Carlo Argan au cours de soixante années d'activité.
Une bibliographie complète, soit plus de 1000 textes, montre l'ampleur de la réflexion de l'historien et critique d'art.
De son premier article datant de 1930 sur Palladio aux derniers articles qu'il put rédiger, G.C. Argan n'a eu de cesse de réfléchir sur le mouvement général de l'art dans toutes ses composantes (peinture, sculpture, architecture, design, media), d'interroger la réalité présente, et surtout de participer activement aux batailles de son temps.
Et comme un ultime combat, de 1976 à 1979, il fut le maire de Rome.
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Dans cet ouvrage, le livre est envisagé comme étant au départ sinon à l'origine des nombreuses variations non seulement du temps vécu, mais aussi de la structure même du temps.
Qu'en est-il alors du temps dans son rapport au livre? Le temps ou plutôt les temps du livre dépendent de l'a priori formel de celui-ci. Si le livre se présente comme une forme spatiale irréductible, un bloc, une forme compacte, enserrant un temps presque apprivoisé, il est aussi un espace poreux. Il est cet espace d'où s'évaporent et s'épanouissent les temps multiples liés à l'histoire, à la mémoire... L'espace du livre se transforme en temps du livre.
Le livre serait cette possibilité d'extériorisation du temps propre à la lecture et au lecteur telle qu'elle s'effectue par leur médiation. Il n'est rien d'autre qu'une humanisation du temps. Lire un livre, c'est prendre du temps au temps, devenir humain grâce au temps, c'est produire un temps humain. -
Les différents articles présentés dans cet ouvrage mettent en lumière la dimension corporelle du livre. Toutefois, les analyses développées dans Le Livre au corps ne se contentent pas de l'analogie qui associe le corps à l'objet-livre à travers les mots d'un vocabulaire commun à l'instar de ceux de tête, pied, dos, nerfs... Loin d'un anthropomorphisme manifeste, aisément repérable et vite accessible, le projet de ce livre est surtout de mettre au jour la profondeur de liens sensibles et l'articulation de rapports visibles et invisibles entre le livre et le corps dans l'histoire - au Moyen Âge, à la Renaissance - mais aussi dans leur propre production et reproduction artistique autonome.
Qu'il soit un objet investi d'esprit ou immédiatement un corps selon Edmund Husserl ou une modalité de notre être selon Emmanuel Lévinas, le livre n'est rien sans son lecteur dont il révèle la corporéité sensible, le livre étant lui-même une forme d'incarnation de l'oeuvre et une mise en oeuvre du corps dans l'acte de lecture.
Avec Henri Michaux, Saint-John Perse ou encore Wols, Le Livre au corps montre que le corps comme le livre sont saisis par une poétique de leur génération ou de leur engendrement réciproque.