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karine giébel
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La montagne ne pardonne pas. Vincent Lapaz, guide solitaire et blessé par la vie, l'apprend aujourd'hui à ses dépens : la mort vient de frapper, foudroyant un être cher. Simple accident ? Vincent n'en croit rien : la victime connaissait le parcours comme sa poche. C'est un meurtre. Avec l'aide d'une jeune gendarme, Vincent mène l'enquête, de crevasses en chausse-trapes, déterrant un à un les secrets qui hantent cette vallée. Et Lapaz non plus n'est pas du genre à pardonner...
Ce livre est un captivant suspense psychologique avec, en toile de fond, les décors majestueux de la montagne. Jean-Paul Guéry - Le Maine libre Cet ouvrage a reçu le Prix des lecteurs au festival polar de Cognac @ Disponible chez 12-21 L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE -
D'abord, c'est une silhouette, un soir, dans la rue. Un face-à-face avec la mort.
Ensuite, c'est une présence. Le jour : à tous les carrefours. La nuit : à ton chevet. Impossible à saisir, à expliquer, à prouver.
Bientôt, une obsession. Qui vous ruine ta carrière, te sépare de tes amis, de ton amant. Te rend folle. Et seule.
Juste une ombre. Qui s'étend sur ta vie et s'en empare à jamais.
Tu lui appartiens, il est déjà trop tard.
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Je m'appelle Raphaël, j'ai passé quatorze ans de ma vie derrière les barreaux. Avec mon frère, William, nous venons de dérober trente millions d'euros de bijoux. Ç'aurait dû être le coup du siècle, ce fut un bain de sang. Deux morts, un blessé grave. Le blessé, c'est mon frère. Alors, je dois chercher une planque sûre où il pourra reprendre des forces.
Je m'appelle Sandra. Je suis morte, il y a longtemps, dans une chambre sordide. Ou plutôt, quelque chose est né ce jour-là...
Je croyais avoir trouvé le refuge idéal. Je viens de mettre les pieds en enfer.
Quelque chose qui marche et qui parle à ma place. Et son sourire est le plus abominable qui soit...
Fascinant.
Sud-Ouest -
Après D'ombre et de silence, Karine Giebel offre un nouveau recueil de textes noirs, humains, bouleversants et engagés.
Il y a des soupirs, des souvenirs et des sourires.
Il y a ces jours sans fin et ces nuits sans chaleur. Cette sensation d'être sale, d'être rien, moins que rien.
Ces dangers qu'on n'a pas vus venir, ces risques qu'on n'a pas osé prendre. Ces tentations auxquelles on n'a pas eu la force de résister.
Il y a ces mauvais héritages, ces mauvais choix, mauvaises pentes, mauvais départs.
Il y a ce manque de chance.
Il y a cette colère, ce dégoût.
Il y a...
Des fois où on préférerait être mort.
Voilà ce qu'on découvre dans les Chambres noires de Karine Giebel, recueil de quatre nouvelles inédites dont les héros, ou anti-héros, incarnent et dénoncent tour à tour les manquements de notre société. Quatre histoires pour lesquelles l'auteure emprunte les titres de grands films qui l'ont marquée.
Après D'ombre et de silence, elle nous offre un nouveau recueil tout en noir, humain, engagé, bouleversant, qui agit comme un révélateur, nous faisant ouvrir les yeux sur le monde en dépit de son opacité et de sa noirceur.
À la fin de l'ouvrage, en bonus, trois nouvelles déjà parues dans Treize à table ! (Pocket) au profit des Restos du Coeur ainsi que Sentence, nouvelle écrite en plein confinement et publiée dans Des mots par la fenêtre (12-21) au profit de la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France.
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Lettres d'amour d'un assassin...
Ma chère Jeanne, J'aimerais que vous m'aimiez comme je vous aime.
Mais, pour m'aimer, il vous faut me connaître.
Savoir ce que je suis... Certains diront un monstre.
D'autres chercheront des explications lointaines, surgies de mon passé.
Beaucoup jugeront, condamneront.
Mais qui comprendra vraiment ? Vous, je l'espère.
Hier soir, j'étais avec une autre femme que vous.
Mais je ne suis pas resté longtemps avec elle.
Juste le temps de la tuer... -
Marianne, vingt ans. Les barreaux comme seul horizon. Perpétuité pour cette meurtrière.
Indomptable, incontrôlable, Marianne se dresse contre la haine, la brutalité et les humiliations quotidiennes.
Aucun espoir de fuir cet enfer, ou seulement en rêve, grâce à la drogue, aux livres, au roulis des trains qui emporte l'esprit au-delà des grilles. Grâce à l'amitié et à la passion qui portent la lumière au coeur des ténèbres.
Pourtant, un jour, une porte s'ouvre. Une chance de liberté.
Mais le prix à payer est terrifiant pour Marianne qui n'aspire qu'à la rédemption...
Karine Giebel signe un suspense implacable et brosse, avec Marianne, un portrait de femme écorchée digne de la Lisbeth de Stieg Larsson. 24 heures @ Disponible chez 12-21 L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE -
Le temps de l'impunité est révolu. Le temps des souffrances est venu.
Elle ne m'aimait pas.
Pourtant, je suis là aujourd'hui. Debout face au cercueil premier prix sur lequel j'ai posé une couronne de fleurs commandée sur internet.
Car moi, j'ai voulu l'aimer. De toutes mes forces.
De force.
Mais on n'aime pas ainsi.
Que m'a-t-elle donné ?
Un prénom, un toit et deux repas par jour.
Je ne garderai rien, c'est décidé. A part le livret de famille qui me rappelle que j'ai vu le jour un 15 mai.
De mère indigne.
Et de père inconnu.
Lorsque j'arrive devant la porte de mon ancienne chambre, ma main hésite à tourner la poignée. Je respire longuement avant d'entrer.
En allumant la lumière, je reste bouche bée.
Pièce vide, tout a disparu.
Il ne reste qu'un tabouret au centre de la pièce. J'essuie mes larmes, je m'approche.
Sur le tabouret, une enveloppe. Sur l'enveloppe, mon prénom écrit en lettres capitales.
Deux feuilles. Ecrites il y a trois mois. Son testament, ses dernières volontés.
Je voulais savoir.
Maintenant, je sais.
Et ma douleur n'a plus aucune limite.
La haine.
Voilà l'héritage qu'elle me laisse. -
Écrire une nouvelle, c'est tenter, en quelques lignes, de donner vie à un personnage, de faire passer au lecteur autant d'émotions qu'en plusieurs centaines de pages.
C'est en cela que la nouvelle est un genre littéraire exigeant, difficile et passionnant.
Karine Giebel Partir sans lui dire au revoir.
Parce que je me sens incapable d'affronter ses larmes ou de retenir les miennes.
L'abandonner à son sort.
Parce que je n'ai plus le choix.
(...) Je m'appelle Aleyna, j'ai dix-sept ans.
Aleyna, ça veut dire éclat de lumière.
(...) J'ai souvent détesté ma vie.
Je n'ai rien construit, à part un cimetière pour mes rêves.
Là au moins, on ne pourra pas me les voler.
Si les romans de Karine Giebel sont parmi les plus lus en France et ont fait le tour du monde, celle-ci excelle depuis quelques années dans un genre tout aussi exigeant : la nouvelle, où elle condense en quelques pages seulement toute la force de ses romans.
D'OMBRE ET DE SILENCE réunit huit textes, dont certains sont inédits et d'autres restés jusqu'à aujourd'hui très confidentiels. Voici l'occasion de (re)découvrir Karine Giebel intensément, grâce à ce recueil de nouvelles noires, humaines, engagées... -
Je connais l'enfer dans ses moindres recoins.
Je pourrais le dessiner les yeux fermés.
Je pourrais en parler pendant des heures.
Si seulement j'avais quelqu'un à qui parler...
Tama est une esclave. Elle n'a quasiment connu que la servitude. Prisonnière de bourreaux qui ignorent la pitié, elle sait pourtant rêver, aimer, espérer. Une rencontre va peut-être changer son destin...
Frapper, toujours plus fort.
Les détruire, les uns après les autres.
Les tuer tous, jusqu'au dernier.
Gabriel est un homme qui vit à l'écart du monde, avec pour seule compagnie ses démons et ses profondes meurtrissures.
Un homme dangereux.
Un matin, il découvre une inconnue qui a trouvé refuge chez lui. Une jeune femme blessée et amnésique.
Qui est-elle ? D'où vient-elle ?
Rappelle-toi qui tu es. Rappelle-toi, vite !
Parce que bientôt, tu seras morte.
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On se croit solide et fort, on se croit à l'abri. On suit un chemin jalonné de repères, pavé de souvenirs et de projets. On aperçoit bien le ravin sans fond qui borde notre route, mais on pourrait jurer que jamais on n'y tombera. Pourtant, il suffit d'un seul faux pas. Et c'est l'interminable chute.
Aujourd'hui encore, je suis incapable d'expliquer ce qui est arrivé. Si seulement j'avais plongé seul...
Cette nuit, c'est le patron des Stups, le commandant Richard Ménainville, qui doit confesser son addiction et répondre de ses actes dans une salle d'interrogatoire. Que s'est-il réellement passé entre lui et son lieutenant Laëtitia Graminsky ? Comment un coup de foudre a-t-il pu déclencher une telle tragédie ?
Si nous résistons à cette passion, elle nous achèvera l'un après l'autre, sans aucune pitié.
Interrogée au même moment dans la salle voisine, Laëtitia se livre. Elle dira tout de ce qu'elle a vécu avec cet homme. Leurs versions des faits seront-elles identiques ?
Si nous ne cédons pas à cette passion, elle fera de nous des ombres gelées d'effroi et de solitude.
Si nous avons peur des flammes, nous succomberons à un hiver sans fin.
La passion selon Karine Giebel... conduit forcément à l'irréparable.
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- Des fois, tu sais... Des fois j'ai envie de mourir, murmure soudain Léonard.
- À cause de ce qui arrive à Mona ?
- Oui, à cause de ça. Et aussi parce que je suis un débile et que tout le monde se moque de moi...
- Tu n'es pas débile et de toute façon tu ne peux pas mourir.
- Et pourquoi ?
- Parce que tu n'as pas vu Glen Affric. On ne peut pas mourir sans avoir vu Glen Affric...
Je suis un idiot, un imbécile, un crétin. Je n'ai pas de cervelle.
Léonard se répète ce refrain chaque jour et chaque nuit, une suite de mots cruels qu'il entend dans la cour, dans la rue. Son quotidien.
Léo le triso. Léonard le bâtard.
Léonard n'est pas comme les autres et il a compris que le monde n'aime pas ceux qui sont différents.
Alors il rêve parfois de disparaître.
Être ailleurs. Loin d'ici.
À Glen Affric.
Mais les rêves de certains sont voués à finir en cauchemars...
Avec plus de deux millions de livres vendus à travers le monde, Karine Giebel s'est forgée une place à part dans le paysage littéraire français. Glen Affric, son douzième roman, est un thriller psychologique bouleversant sur la différence et l'amitié, où le plus beau côtoie le pire. Karine Giebel, indétrônable créatrice d'émotions fortes et authentiques, nous plonge comme elle seule sait le faire au plus profond de l'âme humaine... -
Ils sont là. Derrière. Ils approchent.
Aboiements. Tonnerre de sabots au galop...
La forêt est si profonde... Rien ne sert de crier. Courir. Mourir. C'est le plus dangereux des jeux. Le dernier tabou. Le gibier interdit...
Le hasard les a désignés. Diane aurait dû rester à l'hôtel, ce jour-là. Au mauvais endroit, au mauvais moment... Maintenant, ils sont derrière, tout près. Courir. Mourir.
Quant à Rémy le SDF, s'il a perdu tout espoir depuis longtemps, c'est la peur au ventre qu'il tente d'échapper à la traque. Ils sont impitoyables, le sang les grise. Courir. Mourir.
C'est le plus dangereux des jeux. Qui en réchappera ?
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Elle est belle, attirante, disponible. Il n'a pas hésité à la suivre pour prendre un dernier verre.
À présent il est seul, dans une cave, enfermé dans une cage. Isolé. Sa seule compagnie ? Sa séductrice et son bourreau. Et elle a décidé de faire durer son plaisir très longtemps. De le faire souffrir lentement.
Pourquoi lui ? Dans ce bras de fer rien n'est dû au hasard. Et la frontière entre tortionnaire et victime est bien mince...
Un roman glaçant, qui ferait passer le Misery de Stephen King pour un roman d'ados ! Bien dans ma vie !
Prix SNCF du polar français, Prix Intramuros et Prix du festival international du Roman noir @ Disponible chez 12-21 L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE Cet ouvrage a reçu le Prix SNCF du polar -
Et chaque fois, mourir un peu Tome 1 : Blast
Karine Giébel
- Libra Diffusio
- Corps 16
- 2 Septembre 2024
- 9782379323331
De Sarajevo à Gaza, Grégory, infirmier, se rend au chevet des sacrifiés sous l'égide de la Croix-Rouge internationale. Chaque victime sauvée est une victoire sur la folie des hommes. Chaque vie épargnée donne un sens à la sienne. Peu importe les cicatrices invisibles que lui laisse chaque conflit. Poussé par un courage hors du commun, il prend de plus en plus de risques. Jusqu'au risque de trop. Jusqu'au drame...
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Et chaque fois, mourir un peu Tome 2 : Trauma(s)
Karine Giébel
- Éditions Récamier
- Recamier Noir
- 10 Octobre 2024
- 9782385771362
Avec Trauma(s), Karine Giebel met un point final à son roman Et chaque fois, mourir un peu.
LE NOUVEAU THRILLER DE KARINE GIEBEL :
Avec Trauma(s), Karine Giebel met un point final à son roman Et chaque fois, mourir un peu.
Après des années sur le front sans arme ni gilet pare-balle, après des années à soigner les autres au péril de sa vie sous l'égide de la croix rouge internationale, après avoir pris de plus en plus de risques jusqu'au risque de trop, une autre guerre attend Grégory.
Lors d'une dernière mission en Afghanistan les rôles s'inversent : les humanitaires deviennent des cibles.
Après tous les combats qu'il a menés, Grégory va devoir sauver sa propre vie et celle de ses collègues.
Plongez dans le nouveau thriller de Karine Giebel.
UN ROMAN COUP DE POING :
TRAUMA(S) est la suite du Blast: Et chaque fois mourir un peu - Livre 1, paru en mars.
Ce roman policier humaniste s'inscrit dans la veine des textes engagés de Karine Giebel, où l'ombre cotoie la lumière avec un personnage principal bouleversant.
L'adaptation télé du best seller Jusqu'à ce que la mort nous unisse a été multi diffusée sur francetv, et a réuni chaque fois des millions de téléspectateurs. -
13 à table !
Collectif, Sandrine Collette, Lorraine Fouchet, Karine Giébel, Raphaëlle Giordano, Christian Jacq
- Roman Contemporain
- 7 Novembre 2024
- 9782266344913
11e édition de 13 à table, le recueil de nouvelles 100% bénévole au profit des Restos du coeur
Pour 13 à table ! c'est une nouvelle décennie qui s'annonce.
Et toujours le même défi : aider le plus possible les Restos du Coeur.
Pour cette 11e édition, le thème est : Dans le même bateau.
Au 1er ou au 12e degré, selon le sens qu'on veut lui donner, il illustre la solidarité qui nous est chère.
Cette année encore, ce sont 14 auteurs d'horizons divers qui offrent une nouvelle pour que nous puissions offrir des repas.
On compte sur nous !
Sandrine Collette
Lorraine Fouchet
Karine Giebel
Raphaëlle Giordano
Christian Jacq
Marie-Hélène Lafon
Alexandra Lapierre
Marc Levy
Marcus Malte
Agnès Martin-Lugand
Étienne de Montety
François Morel
Romain Puértolas
Jacques Ravenne
Illustration de Catherine Meurisse
Inédit
Un livre acheté = 5 repas distribués -
Avec Trauma(s), Karine Giebel met un point final à son roman Et chaque fois, mourir un peu.
Après des années sur le front sans arme ni gilet pare-balle, après des années à soigner les autres au péril de sa vie sous l'égide de la croix rouge internationale, après avoir pris de plus en plus de risques jusqu'au risque de trop, une autre guerre attend Grégory.
Lors d'une dernière mission en Afghanistan les rôles s'inversent : les humanitaires deviennent des cibles.
Après tous les combats qu'il a menés, Grégory va devoir sauver sa propre vie et celle de ses collègues. -
Deux hommes en bout de course qui n'auraient jamais dû se rencontrer se retrouvent dans la même voiture pour vivre ensemble ce qui pourrait bien être leur dernière ligne droite.
Tu sais Paul, Satan était un ange... Et il le redeviendra.
Rouler, droit devant. Doubler ceux qui ont le temps. Ne pas les regarder.
Mettre la musique à fond pour ne plus entendre.
Tic tac...
Bientôt, tu seras mort.
Hier encore, François était quelqu'un. Un homme qu'on regardait avec admiration, avec envie.
Aujourd'hui, il n'est plus qu'un fugitif qui tente d'échapper à son assassin. Qui le rattrapera, où qu'il aille. Quoi qu'il fasse.
La mort est certaine. L'issue, forcément fatale.
Ce n'est plus qu'une question de temps.
Il vient à peine de le comprendre.
Paul regarde derrière lui ; il voit la cohorte des victimes qui hurlent vengeance.
Il paye le prix de ses fautes.
Ne pas pleurer. Ne pas perdre de temps. Accélérer.
L'échéance approche.
Je vais mourir.
Dans la même voiture, sur une même route, deux hommes que tout semble opposer et qui pourtant fuient ensemble leurs destins différents.
Rouler droit devant, admirer la mer. Faire ce qu'ils n'ont jamais fait. Vivre des choses insensées. Vivre surtout...
Car après tout, pourquoi tenter sans cesse de trouver des explications ? -
Il y a des crimes parfaits.
Il y a des meurtres gratuits.
Folie sanguinaire ou machination diabolique, la peur est la même. Elle est là, partout : elle s'insinue, elle vous étouffe... Pour lui, c'est un nectar. Pour vous, une attente insoutenable. D'où viendra le coup fatal ? De l'ami ? De l'amant ? De cet inconnu à l'air inoffensif ? D'outre-tombe, peut-être...
Ce recueil comprend les nouvelles Post mortem et J'aime votre peur. -
Les morsures de l'ombre
Miceal Beausang-O'Griafa, Xavier Delaporte
- Philéas
- 24 Octobre 2024
- 9782491467890
Séquestré dans une cave, le commandant Benoît Lorand est à la merci de Lydia, belle femme au comportement hiératique et tortionnaire.
Il lui faudra fouiller dans son passé pour comprendre les motivations de sa geôlière...
Une femme rousse, plutôt charmante. Oui, il se souvient. Un peu...
Il l'a suivie chez elle... Ils ont partagé un verre, il l'a prise dans ses bras... Ensuite, c'est le trou noir.
Quand le commandant Benoît Lorand se réveille dans cette cave, derrière ces barreaux, il comprend que sa vie vient de basculer dans l'horreur. Lydia le retient prisonnier. L'observe, le provoque, lui fait mal.
Rituel barbare, vengeance, dessein meurtrier, pure folie?
Une seule certitude : un compte à rebours terrifiant s'est déclenché.
Combien de temps résistera-t-il à ces morsures de l'ombre, infligées par cette femme assoiffée de vengeance ?
Un récit noir magistral et tendu à l'extrême, où les auteurs nous entraînent dans un huis clos glaçant au coeur de la folie d'après le bestseller multiprimé de Karine Giébel. -
Le nouveau thriller de Karine Giebel, qui donne une voix à celles qui n'en ont pas. Un roman coup de poing qui explore un des pires outrages fait aux femmes.
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Et chaque fois mourir un peu - COLLECTOR - Livre 1 et 2
Karine Giébel
- Éditions Récamier
- Récamier Noir
- 2 Octobre 2025
- 9782385771485
Les deux tomes du roman Et chaque fois, mourir un peu réunis en un seul volume - édition limitée.
De Sarajevo à Gaza, en passant par Grozny, la Colombie ou l'Afghanistan, Grégory soigne les victimes des conflits pour la Croix-Rouge internationale. Poussé par l'adrénaline, il prend de plus en plus de risques pour sauver des vies, peu importe la sienne. Car c'est ce qui le fait vivre. Jusqu'au drame.
Désormais, les humanitaires sont des cibles. Gregory parviendra-t-il à sauver la vie de ses collègues et la sienne ? -
Treize auteurs prestigieux de noir sont ici réunis et, si chacun a son mode opératoire, le mot d'ordre est le même pour tous : nous faire tendre l'oreille en nous proposant des récits qui jouent avec les différentes définitions de l'audition.
Dans ces nouvelles, ils ont donné libre cours à leur noire imagination pour créer une atmosphère, des personnages inoubliables et une tension qui vous happeront dès les premiers mots... et jusqu'à la chute.
Éclectique et surprenant, ce recueil renferme onze expériences exceptionnelles de lecture.
Laissez-vous chuchoter à l'oreille, venez Écouter le noir.
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Et chaque fois, mourir un peu - Livre 1 : Blast
Karine Giébel
- Thriller
- 2 Octobre 2025
- 9782266323932
Le nouveau roman tant attendu de la reine du polar français.
Monter au front sans arme ni gilet pare-balles. Soigner les autres au péril de sa vie. Se sentir utile en ce monde.
De Sarajevo à Gaza, en passant par Grozny, la Colombie ou l'Afghanistan, Grégory se rend au chevet des sacrifiés sous l'égide de la Croix-Rouge internationale. Chaque victime sauvée est une victoire sur la folie des hommes. Chaque vie épargnée donne un sens à la sienne. Peu importe les cicatrices et les plaies invisibles que lui laisse chaque conflit.
Poussé par l'adrénaline, par un courage hors du commun et par l'envie de sauver ceux que le monde oublie, Grégory prend de plus en plus de risques.
Jusqu'au risque de trop. Jusqu'au drame...
Ne pas flancher, ne pas s'effondrer. Ne pas perdre la raison.
Choisir.
Sauver cette jeune fille, condamner cet adolescent. Soigner ce quadragénaire, laisser mourir cet enfant.
Choisir.
Endurer les suppliques d'une mère, d'un père.
Certains tombent à genoux devant lui, comme s'il était Dieu.
Choisir.
Tenter de sauver cette femme. Sacrifier sa petite fille qui n'a que peu de chances de survivre à ses blessures.
Choisir.
Et chaque fois, mourir un peu.
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