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Londres, 1984. Un monde ternaire : Eurasia, Estasia, Océania. Une liberté d'expression bannie. Un passé révu et corrigé en fonction des désirs du Parti. Voilà planté le cadre sinistre dans lequel Winston, un employé du ministère de la Vérité en Océania, est chargé de veiller à ce que les traces de l'alliance passée entre l'Océania et l'Estasia n'existent plus. Mais cette amnésie fabriquée lui pèse de plus en plus, les mensonges du Parti le rongent de l'intérieur. Bien que tout plaisir soit banni, et que les relations soient contrôlées, sa rencontre avec Julia va le pousser vers la dissidence...
Écrit en 1948, publié en 1949, le célèbre 1984 de George Orwell s'est affirmé au fil du temps comme un monument de la littérature mondiale du vingtième siècle. Et même une bible romanesque dénonçant les régimes autoritaires. -
Im Schatten des Hauses, in der Sonne des Flußufers bei den Booten, im Schatten des Salwaldes, im Schatten des Feigenbaumes wuchs Siddhartha auf, der schone Sohn des Brahmanen, der junge Falke, zusammen mit Govinda, seinem Freunde, dem Brahmanensohn. Sonne bräunte seine lichten Schultern am Flußufer, beim Bade, bei den heiligen Waschungen, bei den heiligen Opfern. Schatten floß in seine schwarzen Augen im Mangohain, bei den Knabenspielen, beim Gesang der Mutter, bei den heiligen Opfern, bei den Lehren seines Vaters, des Gelehrten, beim Gespräch der Weisen. Lange schon nahm Siddhartha am Gespräch der Weisen teil, übte sich mit Govinda im Redekampf, übte sich mit Govinda in der Kunst der Betrachtung, im Dienst der Versenkung. Schon verstand er, lautlos das Om zu sprechen, das Wort der Worte, es lautlos in sich hinein zu sprechen mit dem Einhauch, es lautlos aus sich heraus zu sprechen mit dem Aushauch, mit gesammelter Seele, die Stirn umgeben vom Glanz des klardenkenden Geistes. Schon verstand er, im Innern seines Wesens Atman zu wissen, unzerstorbar, eins mit dem Weltall.
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Il y a vingt-cinq ans, dans la chine des Royaumes Combattants, était rédigé le premier traité sur l'art de la guerre. Pour atteindre la victoire, le stratège habile s'appuie sur sa puissance, mais plus encore le moral des hommes, les circonstances qui l'entourent et l'information dont il dispose. La guerre doit être remportée avant même d'avoir engagé le combat.
Sun Tzu ne décrit pas des batailles grandioses et le fracas des épées, pas plus qu'il n'énumère des techniques vouées à l'obsolescence : L'Art de la guerre est un précieux traité de stratégie, un grand classique de la pensée politique, et une leçon de sagesse à l'usage des meneurs d'hommes.
Autant que de courage, la victoire est affirme d'intelligence. -
"Vingt Mille Lieues sous les Mers" (Twenty Thousand Leagues Under the Sea) is a classic adventure novel written by the French author Jules Verne. It was first serialized from March 1869 through June 1870 in the French periodical "Magasin d'Éducation et de Récréation" and later published as a complete novel in 1870.
The novel tells the story of Captain Nemo and his submarine, the Nautilus, as they embark on a fantastic underwater journey. Professor Pierre Aronnax, his servant Conseil, and a Canadian whaler named Ned Land find themselves aboard the Nautilus, where they encounter breathtaking marine landscapes, mysterious sea creatures, and underwater wonders.
"Vingt Mille Lieues sous les Mers" is considered one of Jules Verne's most famous and enduring works. It is celebrated for its imaginative depiction of undersea exploration and remains a classic in the genre of science fiction and adventure literature. -
"Les Fleurs du Mal" est un recueil de poèmes emblématique écrit par Charles Baudelaire, l'un des plus grands poètes français du XIXe siècle. Publié pour la première fois en 1857, cet ouvrage a marqué la littérature française et est considéré comme un chef-d'oeuvre de la poésie symboliste.
Le recueil explore une gamme de thèmes tels que l'amour, la beauté, la modernité, la mélancolie, la décadence, et la quête de l'idéal. Baudelaire utilise une écriture dense et riche en images pour exprimer ses sentiments profonds et complexes. "Les Fleurs du Mal" a été critiqué à sa sortie pour son caractère provocateur et a même conduit Baudelaire à être poursuivi pour offense à la morale publique.
Cependant, au fil du temps, l'oeuvre de Baudelaire a été reconnue comme une contribution majeure à la poésie française. Elle a influencé de nombreux écrivains et artistes et demeure une source d'étude et d'appréciation dans le domaine de la littérature. Si vous avez des questions spécifiques sur "Les Fleurs du Mal" ou si vous souhaitez en savoir plus sur un aspect particulier, n'hésitez pas à demander. -
Dans le Grand Nord sauvage et glacé, un jeune loup apprend à lutter pour la vie. Les premiers hommes qu'il rencontre, des Indiens, le baptisent Croc-Blanc. Auprès d'eux, il connaît la chaleur du feu de camp, mais aussi le goût du sang. Racheté par un Blanc cupide, il est dressé pour le combat et découvre la haine. Un homme pourtant le sauve de cet enfer. Croc-Blanc lui vouera un amour exclusif.
L'aventure de Croc-Blanc, d'abord publiée en 1906, se déroule dans les déserts gelés et désolés du nord-ouest Canadien. Croc-Blanc, mi-chien mi-loup se trouve le seul survivant d'une portée de cinq chiens. Dans son monde solitaire, il a vite appris à suivre la féroce loi du nord sauvage et froid - manger ou être mangé. Mais rien dans sa jeune vie ne l'a préparé à la cruauté du tyran Beauty Smith, qui achète Croc-Blanc à son maître indien et le transforme en bête de combat pour gagner de l'argent grâce aux paris. Une grande partie du roman est écrite du point de vue de Croc-Blanc -
Llamadme Ismael. Hace unos anos -no importa cuanto hace exactamente -, teniendo poco o ningún dinero en el bolsillo, y nada en particular que me interesara en tierra, pensé que me iria a nave gar un poco por ahi, para ver la parte acuatica del mundo. Es un modo que tengo de echar fuera la melancolia y arreglar la circulación. Cada vez que me sorprendo poniendo una boca triste; cada vez que en mi alma hay un noviembre húmedo y lloviznoso; cada vez que me encuentro parandome sin querer ante las tiendas de ataúdes; y, especialmente, cada vez que la hipocondria me domina de tal modo que hace falta un recio principio moral para impedirme salir a la calle con toda deliberación a derribar metódicamente el sombrero a los transeúntes, entonces, entiendo que es mas que hora de hacerme a la mar tan pronto como pueda. Es mi sustitutivo de la pistola y la bala. Con floreo filosófico, Catón se arroja sobre su espada; yo, calladamente, me meto en el barco. No hay nada sorprendente en esto. Aunque no lo sepan, casi todos los hombres, en una o en otra ocasión, abrigan sentimientos muy parecidos a los mios respecto al océano. Ahi tenéis la ciudad insular de los Manhattos, cenida en torno por los muelles como las islas indias por los arrecifes de coral: el comercio la rodea con su resaca. A derecha y a izquierda, las calles os llevan al agua. Su extremo inferior es la Bateria, donde esa noble mole es banada por olas y refrescada por brisas que pocas horas antes no habian llegado a avistar tierra. Mirad alli las turbas de contempladores del agua.
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Estabamos en la sala de estudio cuando entró el director, seguido de un «novato» con atuendo pueblerino y de un celador cargado con un gran pupitre. Los que dormitaban se despertaron, y todos se fueron poniendo de pie como si los hubieran sorprendido en su trabajo. El director nos hizo sena de que volviéramos a sentarnos; luego, dirigiéndose al prefecto de estudios, le dijo a media voz: -Senor Roger, aqui tiene un alumno que le recomiendo, entra en quinto. Si por su aplicación y su conducta lo merece, pasara a la clase de los mayores, como corresponde a su edad. El «novato», que se habia quedado en la esquina, detras de la puerta, de modo que apenas se le veia, era un mozo del campo, de unos quince anos, y de una estatura mayor que cualquiera de nosotros. Llevaba el pelo cortado en flequillo como un sacristan de pueblo, y parecia formal y muy azorado. Aunque no era ancho de hombros, su chaqueta de pano verde con botones negros debia de molestarle en las sisas, y por la abertura de las bocamangas se le veian unas munecas rojas de ir siempre remangado. Las piernas, embutidas en medias azules, salian de un pantalón amarillento muy estirado por los tirantes. Calzaba zapatones, no muy limpios, guarnecidos de clavos.
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Il y a bien trois mousquetaires : Athos, Porthos et Aramis, car d'Artagnan, le quatrième homme de ce quatuor de batailleurs intrépides n'aura le titre de mousquetaire qu'à la fin du roman. Il a cependant très tôt la confiance du roi Louis XIII, et surtout de la reine Anne d'Autriche qui le charge d'une délicate mission secrète en Angleterre. Dans ce roman « de cape et d'épée », un modèle du genre, les quatre héros luttent avec panache contre des ennemis perfides, et négligent leurs problèmes personnels de coeur ou de conscience (qui prennent cependant une certaine place dans le roman), pour voler au secours de l'un d'entre eux dès que c'est nécessaire.
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Orgueil et Préjugés (Pride and Prejudice) est un roman de la femme de lettres anglaise Jane Austen paru en 1813. Il est considéré comme l'une de ses oeuvres les plus significatives et est aussi la plus connue du grand public.Rédigé entre 1796 et 1797, le texte, alors dans sa première version (First Impressions), figurait au nombre des grands favoris des lectures en famille que l'on faisait le soir à la veillée dans la famille Austen. Révisé en 1811, il est finalement édité deux ans plus tard, en janvier 1813. Son succès en librairie est immédiat, mais bien que la première édition en soit rapidement épuisée, Jane Austen n'en tire aucune notoriété : le roman est en effet publié sans mention de son nom (« par l'auteur de Sense and Sensibility ») car sa condition de « femme de la bonne société » lui interdit de revendiquer le statut d'écrivain à part entière.Drôle et romanesque, le chef-d'oeuvre de Jane Austen continue à jouir d'une popularité considérable, par ses personnages bien campés, son intrigue soigneusement construite et prenante, ses rebondissements nombreux, et son humour plein d'imprévu. Derrière les aventures sentimentales des cinq filles Bennet, Jane Austen dépeint fidèlement les rigidités de la société anglaise au tournant des xviii et xix siècles. À travers le comportement et les réflexions d'Elizabeth Bennet, son personnage principal, elle soulève les problèmes auxquels sont confrontées les femmes de la petite gentry campagnarde pour s'assurer sécurité économique et statut social. À cette époque et dans ce milieu, la solution passe en effet presque obligatoirement par le mariage : cela explique que les deux thèmes majeurs d'Orgueil et Préjugés soient l'argent et le mariage, lesquels servent de base au développement des thèmes secondaires.Grand classique de la littérature anglaise, Orgueil et Préjugés est à l'origine du plus grand nombre d'adaptations fondées sur une oeuvre austenienne, tant au cinéma qu'à la télévision. Depuis Orgueil et Préjugés de Robert Z. Leonard en 1940, il a inspiré quantité d'oeuvres ultérieures : des romans, des films, et même une bande dessinée parue chez Marvel.Dans son essai de 1954, Ten Novels and Their Authors, Somerset Maugham le cite en seconde position parmi les dix romans qu'il considérait comme les plus grands.
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Le 24 février 1815, la vigie de Notre-Dame de la Garde signala le trois-mâts le Pharaon, venant de Smyrne, Trieste et Naples.
Comme d'habitude, un pilote côtier partit aussitôt du port, rasa le château d'If, et alla aborder le navire entre le cap de Morgion et l'île de Rion.
Aussitôt, comme d'habitude encore, la plate-forme du fort Saint-Jean s'était couverte de curieux ; car c'est toujours une grande affaire à Marseille que l'arrivée d'un bâtiment, surtout quand ce bâtiment, comme le Pharaon, a été construit, gréé, arrimé sur les chantiers de la vieille Phocée, et appartient à un armateur de la ville.
Cependant ce bâtiment s'avançait ; il avait heureusement franchi le détroit que quelque secousse volcanique a creusé entre l'île de Calasareigne et l'île de Jaros ; il avait doublé Pomègue, et il s'avançait sous ses trois huniers, son grand foc et sa brigantine, mais si lentement et d'une allure si triste, que les curieux, avec cet instinct qui pressent un malheur, se demandaient quel accident pouvait être arrivé à bord. Néanmoins les experts en navigation reconnaissaient que si un accident était arrivé, ce ne pouvait être au bâtiment lui-même ; car il s'avançait dans toutes les conditions d'un navire parfaitement gouverné : son ancre était en mouillage, ses haubans de beaupré décrochés ; et près du pilote, qui s'apprêtait à diriger le Pharaon par l'étroite entrée du port de Marseille, était un jeune homme au geste rapide et à l'oeil actif, qui surveillait chaque mouvement du navire et répétait chaque ordre du pilote. -
Eveillé au milieu de la nuit, un condamné à mort éprouve le besoin d'écrire ses pensées. C'est un homme ordinaire dont on ne connait pas le crime. Il exprime son angoisse, ses espoirs, ses souvenirs du procès et d'événements vécus en prison. Il ne sait pas encore qu'il vit ses dernières heures. Il l'apprend au petit jour. Il note alors, avec les sentiments qu'ils provoquent chez lui, tous les petits événements de son transfert, de son attente de l'heure fatale. Ce pathétique plaidoyer contre la peine de mort est précédé d'une préface en forme de scène de théâtre : dans un salon un groupe de personnages ridicules parlent de la peine de mort et de poésie... avant de passer à table.
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Le professeur de minéralogie et amateur de vieux livres Otto Lidenbrock découvre dans un manuscrit ancien le texte d'un alchimiste du XVIème siècle, Arne Saknussemm, qui affirme être descendu au centre de la terre. Il indique avec précision comment trouver l'entrée de la cheminée du Sneffels, un volcan islandais éteint, par laquelle il est passé. Otto Lidenbrock s'y rend, accompagné de son neveu Axel, le narrateur du roman, et entreprend l'exploration des entrailles de la planète. Ce Voyage au centre de la terre est aussi un voyage dans le temps, car on y rencontre, non sans danger, maintes espèces végétales et animales préhistoriques.
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Ce roman épistolaire réunit la correspondance d'un assez grand nombre de personnages. Deux d'entre eux, la marquise de Merteuil et le vicomte de Valmont, se livrent à une sorte de duel libertin : Valmont séduit des femmes pour son plaisir, pour rivaliser avec la marquise, et pour lui plaire. Cette jeune veuve joue de sa séduction et intrigue pour faire souffrir les hommes : ses amants et aussi ceux qui aiment d'autres femmes. Elle veut ainsi venger son sexe qu'elle juge opprimé par les hommes. On découvre les drames qu'ils provoquent par les lettres qu'ils écrivent ou qu'écrivent leurs nombreuses victimes. Comme il n'y a pas de narrateur, beaucoup de choses sont laissées à l'interprétation du lecteur, en particulier les vrais sentiments des deux manipulateurs.
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Sala del teatro de Borgona, en 1640. Especie de cobertizo del juego de pelota, dispuesto y adornado para dar representaciones teatrales. La sala es rectangular; la vemos oblicuamente, de forma que uno de sus lados es el fondo que, partiendo del primer término de la izquierda, llega hasta el último de la derecha para formar angulo con el escenario que aparece cortado. A cada uno de los lados de este escenario y a lo largo de los bastidores hay bancos. Forman el telón dos tapices corredizos. Encima de las bambalinas, las armas reales. Del estrado al patio se desciende por una ancha graderia; a ambos lados de ésta, el lugar destinado a los músicos. Bateria de candilejas. Dos pisos superpuestos de galerias laterales: el superior dividido en palcos. El patio, que en realidad no es mas que la escena del teatro, esta vacio: sin embargo, al fondo del mismo, o sea, a derecha y en primer término, hay algunos bancos formando graderios: debajo de una escalera de la que sólo vemos el principio y que sube hacia las localidades superiores, se halla un pequeno mostrador, adornado con candelabros, vasos de cristal, platos con pasteles, jarrones de flores, etcétera.
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Le Père Goriot d'Honoré de Balzac se déploie comme une fresque narrative captivante dans le tumulte social du Paris du XIXe siècle. Eugène de Rastignac, un jeune provincial ambitieux, fait son entrée dans cette métropole effervescente, rêvant de réussite sociale. Son chemin croise celui du Père Goriot, autrefois prospère, qui dilapide sa fortune pour le bien-être de ses filles, les séduisantes Delphine et Anastasie.
L'intrigue prend vie dans un ballet de personnages aux motivations complexes et souvent égoïstes. Balzac explore les profondeurs des relations familiales, mettant en lumière la cupidité, l'amour filial, et les sacrifices déchirants. Le Père Goriot lui-même incarne le dévouement parental au-delà de toute raison, suscitant à la fois admiration et pitié.
Le récit se transforme en une observation acérée des mécanismes sociaux, où la réussite mondaine peut se payer au prix de l'intégrité morale. Les intrigues amoureuses se mêlent aux jeux de pouvoir, créant une toile complexe de relations interconnectées. Delphine et Anastasie, en quête de maintien social, sont prêtes à tout, même à sacrifier l'amour filial.
L'ascension de Rastignac dans la haute société parisienne sert de toile de fond à cette étude des illusions perdues et des compromis moraux. Les salons, les ruelles sombres, et les drames familiaux se tissent ensemble pour créer une atmosphère poignante. Chaque personnage, qu'il soit un étudiant ambitieux, un vieillard désillusionné, ou une jeune femme avide de luxe, contribue à la richesse narrative de ce chef-d'oeuvre.
Ainsi, Le Père Goriot transcende son époque pour révéler des vérités intemporelles sur la nature humaine. Plongez-vous dans ce récit magistral qui explore les profondeurs de l'âme, dévoilant les dilemmes moraux et les tragédies cachées derrière les apparences brillantes de la haute société. Une expérience littéraire inoubliable où chaque page résonne avec la complexité et la beauté des relations humaines. -
Zola peint ici le monde des mines de charbon du nord de la France à la fin du XIXème siècle. On suit la vie quotidienne d'une famille de mineurs, les Maheu, leur travail, leur misère ; celle d'un ouvrier venu d'ailleurs, Etienne Lantier, (un fils de Gervaise : cf. L'Assommoir), qui sera, grâce à son instruction, leur leader dans une grève. On découvre ses aspirations à une vie meilleure, ses réflexions politiques nourries de lectures, sa rivalité amoureuse avec un autre ouvrier. On voit aussi le monde des propriétaires et actionnaires de la mine, qui connaît également ses drames.
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Alors qu'il rend visite à son ami peintre Basil Hallward, Lord Henry rencontre le jeune Dorian Gray. Emerveillé par sa jeune beauté et sa naïveté, il se lie rapidement d'amitié avec lui et dit, en plaisantant, qu'une fois le portrait terminé, seul celui-ci gardera à jamais cette beauté tandis que Dorian vieillira peu à peu. Le jeune homme déclare alors qu'il donnerait son âme pour que ce portrait vieillisse à sa place. A ces mots, tous rirent... sur le moment.
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Les Aventures de Tom Sawyer est un roman classique écrit par l'auteur américain Mark Twain. Il a été publié pour la première fois en 1876 et se déroule dans la ville fictive de St. Petersburg, dans le Missouri.
Le roman suit les aventures de son jeune protagoniste, Tom Sawyer. Tom est un garçon espiègle et imaginatif qui se retrouve souvent dans des situations humoristiques et aventureuses. Avec ses amis, dont Huckleberry Finn, Tom se lance dans diverses escapades, allant de la participation à leurs propres funérailles à la recherche d'un trésor enfoui.
Les Aventures de Tom Sawyer est une histoire de passage à l'âge adulte qui explore les thèmes de l'enfance, de la liberté et du développement moral de ses personnages. Il est connu pour son humour, son esprit et sa représentation de la vie américaine au XIXe siècle. -
Ce roman est, comme le dit son titre, celui de la perte des illusions, de la défaite des idéaux dans une société impitoyable. Il présente d'abord les ambitions de deux amis : Lucien Chardon et David Séchard. David, imprimeur à Angoulême, cherche le moyen de produire un papier bon marché. Lucien, poète, rêve de grandeur ; c'est pourquoi il quitte Angoulême pour Paris où il espère le succès. On assiste ensuite aux échecs de Lucien dans les milieux littéraires et mondains, et aux déboires financiers de David à Angoulême. A la fin du roman, Lucien, au bord du suicide, rencontre un mystérieux prêtre espagnol qui lui promet une meilleure vie sous sa conduite : elle fera l'objet du roman.
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Walden is one of the more famous transcendentalist tracts in modern American literature. First published in 1854, Walden is an account of Thoreau's famous experiment in solitude: spending over two years alone in a cabin near the wilderness.
Walden is broken into sections that meditate on single themes: economy, reading, sounds, solitude, visitors, and so on. The style is complex, weaving back and forth between simple, home-spun prose and complex allegory, metaphor, and allusion. This makes Walden an interesting read because while it may seem accessible on the surface, it's a book that requires deep and repeated reading to fully appreciate its many complexities.
Walden is a book by American transcendentalist writer Henry David Thoreau. The text is a reflection upon the author's simple living in natural surroundings. The work is part personal declaration of independence, social experiment, voyage of spiritual discovery, satire, and-to some degree-a manual for self-reliance.
Walden details Thoreau's experiences over the course of two years, two months, and two days in a cabin he built near Walden Pond amidst woodland owned by his friend and mentor Ralph Waldo Emerson, near Concord, Massachusetts.
Thoreau makes precise scientific observations of nature as well as metaphorical and poetic uses of natural phenomena. He identifies many plants and animals by both their popular and scientific names, records in detail the color and clarity of different bodies of water, precisely dates and describes the freezing and thawing of the pond, and recounts his experiments to measure the depth and shape of the bottom of the supposedly bottomless Walden Pond.
There has been much speculation as to why Thoreau went to live at the pond in the first place. E. B. White stated on this note, Henry went forth to battle when he took to the woods, and Walden is the report of a man torn by two powerful and opposing drives-the desire to enjoy the world and the urge to set the world straight, while Leo Marx noted that Thoreau's stay at Walden Pond was an experiment based on his teacher Emerson's method and of nature and that it was a report of an experiment in transcendental pastoralism.
Likewise, others have assumed Thoreau's intention during his time at Walden Pond was to conduct an experiment: Could he survive, possibly even thrive, by stripping away all superfluous luxuries, living a plain, simple life in radically reduced conditions? He thought of it as an experiment in home economics. Although Thoreau went to Walden to escape what he considered over-civilization, and in search of the raw and savage delight of the wilderness, he also spent considerable amounts of his time reading and writing.
Thoreau used his time at Walden Pond (July 4, 1845 - September 6, 1847) to write his first book, A Week on the Concord and Merrimack Rivers (1849). The experience later inspired Walden, in which Thoreau compresses the time into a single calendar year and uses passages of four seasons to symbolize human development.
By immersing himself in nature, Thoreau hoped to gain a more objective understanding of society through personal introspection. Simple living and self-sufficiency were Thoreau's other goals, and the whole project was inspired by transcendentalist philosophy, a central theme of the American Romantic Period. -
Raison et Sentiments est le premier roman publié de la femme de lettres anglaise Jane Austen. Il paraît en 1811 de façon anonyme puisqu'il était signé by a Lady.Résumé: Après le décès de leur père, Henry Dashwood Elinor, Marianne et Margaret Dashwood ainsi que leur mère se trouvent privées de leur part d'héritage par leur demi-frère (né d'un précédent mariage de Henry Dashwood) qui se laisse facilement convaincre par sa femme Fanny qu'il ne leur doit rien. Leur situation financière considérablement diminuée, elles se retrouvent dans des circonstances particulièrement difficiles. Décidée à quitter le Sussex et le domaine de Norland, où sa belle-fille est venue s'installer en maîtresse sans tarder, Mrs Dashwood part avec ses filles pour le lointain Devon, où un généreux parent à elle, Sir John Middleton, lui a proposé de venir habiter sur ses terres, à Barton Cottage. Les jeunes filles sont rapidement acceptées par leur nouvelle société, particulièrement par Sir John, Lady Middleton et sa mère Mrs Jennings.Sense and Sensibility (traduit en français par Raison et Sensibilité, Raison et Sentiments, ou encore Le Coeur et la Raison) est le premier roman publié de la femme de lettres anglaise Jane Austen. Il paraît en 1811 de façon anonyme puisqu'il était signé by a Lady (« [signé] par une dame »). En effet, sa position sociale interdisait à Jane Austen de signer de son nom un roman destiné à la vente, mais elle ne voulait pas cacher qu'il était l'oeuvre d'une femme.Le texte initial, écrit vers 1795, probablement sous forme épistolaire, avait pour titre le nom des deux héroïnes, Elinor et Marianne, comme beaucoup de romans écrits par des femmes au XVIIIe siècle, mais le choix du titre définitif, pour la publication en 1811, semble indiquer une volonté didactique. Marianne Dashwood, ardente et romanesque, qui croit passionnément pouvoir s'affranchir des convenances, s'affiche avec le séduisant Willoughby dont elle est tombée amoureuse, tandis que sa soeur aînée, la raisonnable Elinor, cache le tendre sentiment que lui inspire son beau-frère, Edward Ferrars. Marianne devra apprendre à surmonter la trahison des sentiments, dans la douleur et avec l'aide de sa soeur, qui, de son côté, refuse stoïquement de rêver et se dévoue à sa famille.
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Martin Eden is a young, hard working man of the working class. After a chance encounter with a beautiful woman of the bourgeoisie, he finds himself in love. In order to win this woman's approval he decides to educate himself: He corrects his speech, he learns proper manners, and he reads the classics of literature, philosophy, and science.
Eventually they become engaged, and he decides to become a writer. But he's continually flummoxed by the greedy and unintelligent editors who are incapable of understanding his work, and by a society that values money as the pinnacle of success.
In Martin Eden, Jack London weaves in several details from his own life and experience as an early writer. However, unlike the titular character, a self-described individualist and Nietzsche-man, London was in reality a vocal socialist, and had intended Martin Eden to be an unflattering caricature of a man who seeks only self-improvement instead of class-improvement. Ironically this was unremarked upon in contemporary reviews. As he inscribed in a copy of the novel given to Upton Sinclair, One of my motifs, in this book, was an attack on individualism. I must have bungled it, for not a single reviewer has discovered it.