Vous souhaitez retrouver vos racines, savoir d'où vous venez, mieux connaître vos ancêtres, transmettre la mémoire de votre famille à vos enfants, réaliser votre arbre généalogique ?
Quelles que soient vos motivations, ce coffret vous donne toutes les informations indispensables pour bien mener l'enquête et reconstituer l'histoire de votre famille. Il contient :
Un guide pratique fourmillant de conseils pour se lancer dans l'aventure. Des pages personnalisables vous permettent de recueillir souvenirs et témoignages.
Un poster de votre arbre généalogique à compléter sur cinq générations.
Des stickers pour personnaliser votre arbre généalogique.
Avec ce coffret, vous voici prêt pour un passionnant voyage dans le temps !
Filiation, sexualité, maladie, argent et héritage, mort...Autant d'événements, de traumatismes à l'origine de la création d'un secret de famille qui se transmet de génération en génération, sans un mot ou une parole, et qui engendre ainsi un héritage inconscient pesant sur toute une lignée.
Que sont ces secrets de famille ? Comment se sont-ils créés ? Comment impactent-ils sur les générations suivantes, et bien souvent sur les enfants ? Comment peut-on les révéler, les dévoiler ? Et... est-ce souhaitable ? Peut-on s'en libérer ? Comment faire avec nos propres secrets ?
Dans cet ouvrage de psychogénéalogie, Vanina Leprovost vous donne toutes les clés pour mieux comprendre les mécanismes d'un secret de famille, l'impact qu'il a et aura sur les générations suivantes, et surtout pour vous aider à vous en détacher et à méditer sur vos propres secrets.
Vous rêvez d'un arbre accessible et facile à montrer, mais sans pour autant l'afficher sur un mur ?
Ce très bel arbre relié est la réponse idéale :
- il se range dans votre bibliothèque. Comme un livre, il s'attrape d'un geste et se déploie de façon simple- il s'articule autour d'un personnage central (vous-même, ou bien l'un de vos parents ou de vos grands-parents, selon votre choix) dont vous notez le nom sur la couverture et sur le dos du livre (le repérage reste facile dans votre bibliothèque, même si vous avez rempli plusieurs arbres reliés).
- il permet d'en noter la descendance (deux générations au-dessous : enfants et petits-enfants) et l'ascendance (quatre générations au-dessus, jusqu'aux arrière-arrière-grands-parents), donnant une vision synthétique de sept générations sur environ deux siècles- il peut être aisément rempli à la main ou par des étiquettes autocollantes à imprimer chez vous.
- il offre au verso de l'arbre un espace de rédaction pour des compléments et des histoires de vie - une pochette intérieure permet d'y associer des photos, des faire-part, des lettres, des documents familiaux divers : un partage de souvenirs facilité lorsque vous montrez l'arbre à un proche (pas besoin de fouiller vos tiroirs ou d'allumer votre ordinateur : les documents les plus précieux sont là).
Tous ceux qui font de la généalogie passent un jour ou l'autre par Geneanet. Même ceux qui n'en font pas y arrivent s'ils interrogent Internet sur la signification de leur nom, la popularité de leur prénom, l'histoire d'un métier ou s'ils veulent découvrir le lien de parenté entre Chirac et Mitterrand, Hollande et Sarkozy, Céline Dion et Hugues Capet...
Né il y a une vingtaine d'années de l'idée de partage communautaire des informations généalogiques, Geneanet atteint désormais 8 milliards d'ancêtres en ligne, 4,5 millions de membres, 1 500 000 d'arbres généalogiques déposés. Aujourd'hui premier site de généalogie collaborative en France, sixième mondial, ce site est connu de tous les généalogistes. Il est incontournable pour les passionnés de longue date qui veulent faire progresser leur arbre comme pour ceux qui veulent commencer.
Mais le site est tellement foisonnant, il propose tant de choses que même ceux qui l'utilisent depuis longtemps savent qu'ils n'en explorent pas le quart.
Le site est toujours plus intuitif mais apporte régulièrement de nombreuses innovations, par exemple sur l'ADN, et de nouveaux outils de recherche performants. Ce guide pratique 2022 est donc indispensable. Très pédagogique, structuré par double page et nourri d'exemples, il permet de découvrir toutes les possibilités de Geneanet.
Grâce à ce livre, vous allez pouvoir retracer votre histoire familiale afin de la transmettre à vos petits-enfants !
Organisé en différents chapitres qui suivent votre parcours de vie, cet ouvrage vous guide dans la retranscription de vos souvenirs grâce à des questions. Des espaces vierges sont également présents pour que vous puissiez y coller des photos ou écrire librement ce que vous souhaitez confier à vos petits-enfants.
Ce livre est unique et précieux, il est votre mémoire et celle de votre famille !
Recueillez tout ce qui fait de vous une famille unique, notez tout ce qui vous rassemble ou vous différencie : anecdotes historiques et souvenirs heureux, cousinades et phrases cultes, papiers et trésors de famille, portraits crachés et talents multiples, valeurs communes et projets fous, photos de toutes les générations...
Un album à compléter à plusieurs pour renforcer la complicité et cultiver ce qui rend la vie de famille si précieuse. Le plus : un arbre généalogique à compléter sur 7 générations.
Il n'y a pas une raison de faire de la généalogie, il y en a mille. Ce manuel part de vos souhaits et vous indique comment retracer votre histoire familiale le plus haut possible dans le temps, sur Internet ou en archives.
Il explique comment aller au-delà des noms et des dates en retrouvant les histoires de vie. Il vous donne des idées, des projets à bâtir, des secrets à explorer et des pistes inattendues. Il porte une centaine de témoignages de passionnés, tous différents, pour montrer combien la généalogie est vivante, dynamique et foisonnante. Enfin, il raconte de belles trouvailles d'archives, parce que les sagas familiales réservent toujours des surprises.
L'aventure généalogique rassemble toutes les générations et ne demande que du temps. Elle peut se pratiquer seul ou à plusieurs, avec ou sans budget, sur place ou à distance, pour la plupart des pays du monde, par tous les temps et quel que soit votre âge. L'histoire familiale, celle d'un lointain passé oublié, dort dans les archives. Elle n'attend qu'un chercheur pour renaître et un conteur pour se déployer. Ce manuel, le plus complet qu'on puisse trouver, ouvre les portes du passé.
En généalogie, la première chose que le cadastre vous apporte, ce sont des indications sur la fortune foncière personnelle de votre ancêtre : le type de biens qu'il possède (champs, bois, appentis, vignes, maisons, etc.), leur valeur, leur date d'achat ou de revente... Vous avez sous les yeux, en une seule page, toute une vie d'acquisition : est-il né pauvre et mort riche ou vice-versa ?
Le cadastre offre une vue synthétique qui s'inscrit dans la durée, à l'inverse des documents notariés. Car un contrat de mariage ou un inventaire après décès donnent une vision de la situation à un moment précis, mais ne permettent pas de détecter les évolutions et les revers de fortune éventuels.
Le cadastre apporte aussi des informations sur les maisons. C'est par lui que vous commencez si vous souhaitez connaître l'histoire de telle ferme, de telle demeure, parce que vous y vivez, ou qu'elle a appartenu à un aïeul.
Car il vous la montre sur deux plans à plus d'un siècle d'écart, et des registres vous permettront de savoir à quand remontent les modifications.
Enfin, le fonds des hypothèques, complexe mais riche d'informations, permet de prolonger la recherche vers les documents notariés ou judiciaires, et d'obtenir la description précise des biens. Il est aussi un outil précieux pour une cousinade car il fournit les dates et lieux de naissance, parfois de décès, et d'habitation des descendants, si des terres sont restées dans la famille.
Cette édition augmentée complète la démarche avec de nouveaux exemples, les dernières mises à jour Internet et des informations complémentaires sur le cadastre rénové des années 1930.
Le bullet journal ? Un concept très pratique pour organiser des projets qui s'inscrivent dans une durée longue et pour ne rien oublier. Pour le généalogiste, dont l'arbre est foisonnant, dont les recherches couvrent vite plusieurs départements ou plusieurs pays, cet outil idéal permet d'avoir sous la main un état précis de ses travaux et un rappel des pistes à creuser, des courriers à envoyer, des cousins à contacter, des photos à numériser, des archives à consulter, etc.
C'est en partant de son expérience de construction de journaux de recherches généalogiques personnelles pendant plusieurs années que l'auteur propose ici les meilleures pages et la présentation idéale pour aider tous ceux qui explorent leur arbre. Clés, plannings annuels, mensuels, hebdomadaires, journaliers, roues des priorités et roues d'ascendance, suivis des échanges et des projets, chronologies, généamémos, lexiques personnels, généalistes, tops des trouvailles, tableaux de veille, bulles conseils, index personnels... Tout est bâti pour que ce bel objet devienne votre compagnon de route tout au long de vos recherches généalogiques.
Spécialiste de ce thème, Myriam Provence livre ici tous ses conseils de recherche. Avec réalisme bien sûr, car il n'est pas toujours possible de retrouver les filiations manquantes. Mais avec optimisme, car sa connaissance des fonds d'archives et des arcanes de l'Assistance publique lui permet d'exploiter tous les indices à disposition. Si les langues ne veulent pas se dénouer, lever le secret se fait pas à pas, document après document.
Après un préambule donnant des repères historiques, le guide est divisé en deux grandes parties: les enfants trouvés, nés sous X et adoptés sont abordés en premier lieu sous le titre «Enfants abandonnés »; ceux dont on ne connaît qu'un seul des deux parents sous le titre «Enfants naturels ». Les conseils sont donnés en fonction de l'époque de recherche.De nombreux ajouts complètent l'édition précédente autour de l'ADN?et des désaveux de paternité.
À vous ensuite, à partir de ce guide, de vous transformer en enquêteur et de ramener à la lumière les secrets d'hier.
On a perdu l'habitude d'aller sur place dans les locaux des archives départementales (AD) et c'est un tort, car ce qui est accessible par Internet ne représente que 3 % à 4 % des documents conservés et que les AD dispensent des cours et des conférences que tous les généalogistes pourraient suivre avec profit.
Dépositaires des fonds anciens indispensables aux historiens, les AD centralisent les documents utiles à ceux qui travaillent sur le passé de leur famille : état civil, registres paroissiaux, recensements et documents notariés, pour ne citer que les principaux. Si les premiers sont simples de consultation et accessibles en ligne dans 90 % des cas, les fonds d'archives permettant de reconstituer des biographies et de retrouver le quotidien d'ancêtres disparus parfois depuis des siècles sont moins faciles à explorer.
Même dans les séries documentaires les plus simples, les méthodes de recherche ne sont pas toujours bien connues de ceux qui débutent. Quant aux documents anciens moins souvent consultés mais passionnants pour reconstituer la vie d'un aïeul, ils sont presque exclusivement à consulter sur place. Or la recherche à travers les inventaires, les séries et les cotes, est loin d'être maîtrisée par la plupart des amateurs. Enfin, les archives départementales dispensent des cours et des conférences que peuvent suivre avec profit tous les généalogistes.
Comment s'y retrouver ? Comment chercher au mieux ? Le guide aborde dans une première partie les fonds et l'organisation du travail (sur place ou sur Internet), dans une seconde partie les centres, classés par département, le tout mis à jour avec les derniers développements Internet.
C'est souvent lors d'un enterrement ou d'une visite au cimetière à la Toussaint qu'on découvre qu'une tombe familiale est en mauvais état, que la mairie y a placé une demande de destruction ou un panneau signalant que la concession touche à sa fin. Les mairies récupèrent en effet les concessions arrivées à leur terme ou les tombes abandonnées, sans prévenir les descendants autrement que par cet affichage et par publication dans le bulletin municipal. Avisées à temps, les familles auraient pourtant pu les prolonger et les relever pour un coût bien inférieur à celui d'une concession nouvelle.
Quelles sont les obligations des municipalités ? Et pour les familles, comment prolonger, relever une concession ou tout simplement la retrouver si l'on n'est même pas sûr de son existence ou de sa durée ? Comment stopper le processus?
Ces questions sont particulièrement d'actualité depuis la crise sanitaire. Elles intéressent aussi plus largement tous les généalogistes, car les dossiers de concession leur apportent des brassées d'informations familiales.
Spécialiste de ces procédures, qu'elle a souvent accompagnées, la généalogiste professionnelle Myriam Provence livre ici les conseils utiles en fonction des cas.
Les orphelins étaient nombreux autrefois, car l'espérance de vie n'était pas très longue. Que devenaient les enfants à la mort des parents ? Ce guide indique les démarches à suivre pas à pas en archives, pour toutes les catégories de tutelle : les orphelins sous tutelle familiale, les pupilles de la nation, les enfants retirés à leurs parents, mais aussi ceux adoptés à l'âge adulte. Une dernière partie aborde les adultes mis sous tutelle à la demande de leurs proches. Pour découvrir en archives de quoi en finir avec certains secrets de famille.
Gallica et RetroNews sont deux vitrines numériques de la Bibliothèque nationale de France. Gallica met à disposition près de 10 millions de documents numérisés de toutes sortes (livres, journaux, manuscrits, cartes, enregistrements sonores, etc.), RetroNews, spécialisé dans la presse ancienne, ouvre l'accès à trois siècles du quotidien de nos aïeux via plus de 1 500 titres de journaux. Deux sites incontournables pour les généalogistes et les historiens, deux véritables « mines d'or » en termes d'archives, avec des fonds en augmentation constante grâce à leurs campagnes de numérisation. Mais Gallica et RetroNews sont si foisonnants qu'il est difficile de s'y orienter. Quels renseignements généalogiques peut-on y découvrir ? Comment y mener une recherche efficace malgré des centaines de résultats affichés au premier clic ? Peut-on y travailler en fonction de la personne cherchée (artiste, fonctionnaire, militaire, étranger...) ? Comment se repérer dans les milliers de documents relatifs à la noblesse ? Comment télécharger gratuitement un ouvrage ou une image en haute résolution ? Et surtout, comment découvrir des documents précieux dont on ignore au départ jusqu'à l'existence ? Il fallait un guide offrant des réponses précises et concises. C'est chose faite avec cet ouvrage, qui s'appuie sur de multiples cas concrets pour mieux accompagner pas à pas le chercheur, tant généalogiste qu'historien, dans sa démarche.
Au XIXe siècle puis au XXe siècle surtout, la France est une terre d'accueil pour les Espagnols chassés de leur pays par la misère ou la politique. Premier nom d'Espagne par la fréquence, porté en 1900 par moins d'un millier de personnes en France, Garcia est aujourd'hui le 8e patronyme de notre pays par le nombre de porteurs. Un indice qui montre que des millions de Français comptent désormais des Espagnols dans leur arbre généalogique. Comment faire pour retrouver ces ancêtres d'au-delà des Pyrénées ?
Ce guide pratique rattache la généalogie à l'histoire : c'est en sachant à quelle période votre aïeul espagnol a migré et en comprenant le contexte historique du moment que vous saurez dans quelles archives chercher en France. Car la recherche commence d'abord ici. Ce sont les documents conservés par la famille ou retrouvés dans les fonds de nos archives départementales qui donnent des noms, des dates et des lieux suffisamment précis pour que la quête se poursuive en Espagne. Sur place, les modalités d'accès aux documents ne sont pas les mêmes qu'ici, les endroits de conservation non plus et la généalogie n'est pas encore un loisir de masse. Mais avec diplomatie, persévérance et patience, vous pourrez remonter votre arbre loin dans le passé, les archives paroissiales débutant en général au XVIe siècle, et les numérisations se faisant toujours plus nombreuses. Cet ouvrage mis à jour et complété avec de nouvelles pistes vous guide pas à pas.
Retracer une généalogie, une histoire familiale ou une biographie, c'est très vite être amené à lire des écritures manuscrites, qu'il s'agisse de correspondances, d'actes d'état civil, de registres paroissiaux ou de minutes de notaires.
Déchiffrer des textes écrits à la main est une première difficulté, pour nous qui sommes habitués à ne lire que des imprimés. Mais l'usage considérable d'abréviations par les scribes de l'Ancien Régime est une seconde difficulté, majeure celle-ci, car si l'entrainement à la lecture de pages manuscrites fait disparaître le premier écueil, la méconnaissance des abréviations rend les textes totalement hermétiques.
D'où l'utilité de ce dictionnaire des abréviations courantes utilisées du XIVe au XVIIIe siècles. Il donne non seulement les abréviations présentes dans les documents en français, mais aussi dans ceux rédigés en latin, qui existent en archives pour certaines périodes ou régions. Un outil par conséquent indispensable au généalogiste comme à l'historien.
La Bruyère assurait que chacun d'entre nous descend à la fois d'un roi et d'un pendu. C'est le cas de l'auteur de ce livre, qui compte dans son arbre aussi bien le roi Louis VII et Aliénor d'Aquitaine que des criminels notoires, découverts au hasard de ses recherches généalogiques. D'où l'idée de ce dictionnaire des criminels ou bandits ayant fait parler d'eux autrefois, depuis Mandrin et la marquise de Brinvilliers jusqu'à Landru et d'autres repris de justice du début du XXe siècle. Leurs généalogies sont autant d'occasions de découvrir des parentés inattendues. Et vous ? Les comptez-vous aussi dans votre lointaine parentèle ?
Depuis la page numérotée 1, jusqu'à la page 63; vous aurez remonté six générations et écrit... l'histoire de votre Famille.